Mostrando entradas con la etiqueta crack. Mostrar todas las entradas
Mostrando entradas con la etiqueta crack. Mostrar todas las entradas

viernes, 2 de septiembre de 2011

Pastore répond à ses supporters - Partie II

Le joueur du PSG et de la sélection argentine répond aux questions posées par ses supporters dans le cadre du concours “Demandez à Pastore”.



16) Tu te vois titulaire de la sélection?

Je ne sais pas. Je vais travailler dur pour y arriver. Je suis déjà content avec le simple fait de faire partie du groupe, mais le rêve de tous est de pouvoir être titulaire dans la sélection qu'il représente. Je vais donner le meilleur de moi-même pour y arriver.

17) À quel âge as-tu commencé à jouer dans une école de football?

J'ai toujours joué, je jouais à l'école, partout, mais sérieusement, j'ai commencé à 9 ans.

18) L'Huracan de Cappa, ça a été un des meilleurs groupes dont tu as fait partie ?

Sans aucun doute. Nous avons formé un groupe fantastique. Très unis. Nous nous amusions beaucoup à chaque entraînement et dans le vestiaire. Avec certains, en plus d'être des compagnons, nous sommes devenus amis.

19) Je sais que ton frère était au Palerme, comme toi, maintenant que tu as déménagé en France, tu l'as emmené ou il va continuer sa carrière en Italie ?


Juan est resté au Palerme. Il est avec la Primavera, l'équipe de réserve en Italie.

20) Avant de prendre ta retraite, tu joueras de nouveau à Huracán ?

Ça a été un club où je me suis senti très à l'aise et où j'ai vécu des moments inoubliables. J'aimerais pouvoir remettre le maillot du globo.

21) Tu choisis le maillot numéro 27, car c'est le numéro préféré de ta mère ?

Oui, exactement. C'est pour ça que je l'ai utilisé à Palerme et au PSG aussi.

22) Tu t'entendais bien avec la sélection?

Oui, ça a été un rêve réalisé pour moi que de pouvoir porter le maillot belu et blanc, de pouvoir continuer à la porter et de représenter mon pays.

23) Qu'est-ce qui te manque le plus de Cordoba, en plus des amis ou de la famille ? Y a-t-il quelque chose qui symbolise vraiment la docta [surnom employé par les Cordouans pour désigner Cordoba] et que tu ne trouves pas là-bas ?

Le cuarteto [style musical typique de la région de Cordoba], j’en emporte toujours avec moi. Les asados [barbecue argentin] et les coutumes me manquent, même si partout où je suis, j'essaie de recréer ce que j'aime le plus de ma Córdoba.

24) Dans quelle sélection argentine de l'histoire aurais-tu aimé jouer?

Je suis à l'aise dans la sélection actuelle. Ce serait mentir si je disais que je n'aurais pas aimé jouer en championnat ceux de 78 et 86. Mais je crois que nous avons une équipe qui peut obtenir de grands résultats. J'espère que les résultats vont commencer à jouer en notre faveur. Nous voulons conduire l'Argentine au sommet.

25) Aimerais-tu jouer en Premier League à un moment donné?
C'est une ligue très intéressante et très compétitive que j'aime beaucoup. Mais pour le moment, je pense seulement au présent et à jouer avec le PSG, c'est la seule chose qui m'importe.

26) J'aimerais savoir ce que tu fais de ton temps libre en Italie, enfin… à Paris maintenant?

J'aime beaucoup passer du temps avec ma famille quand elle est près de moi, je suis très famille. Je vais au cinéma et je joue à a Play.

27) Comment penses-tu qu'est le football argentin actuellement?

Je crois que tout est un peu plus divisé. Rien ne peut être prévu. Ce ne sont plus seulement deux grandes équipes qui gagnent tout. Justement, ce dernier championnat est celui où on a vu le plus de changements, mais cela fait un moment que les choses indiquent cette tendance et que n'importe quelle équipe est en mesure de devenir champion.

28) Que penses-tu du fait qu'il y ait de moins en moins de meneurs de jeu ou qu'on utilise moins ce type de joueur?

Je crois que cela dépend de chaque entraîneur et de sa structure de jeu. Personnellement, comme meneur de jeu, ce n'est pas quelque chose qui me plaît beaucoup, mais c'est bien que chaque joueur puisse s'adapter au jeu demandé par le directeur technique.

29) Que dirais-tu aux jeunes des centres de formation?

Qu'ils donnent tout sur le terrain, qu'ils profitent de tous les matchs et qu'ils les jouent comme s'ils étaient les derniers. Le football est fantastique, il faut en profiter. Ils doivent toujours avoir la foi et regarder en avant. S'ils le mentalisent bien et qu'ils pensent qu'ils peuvent réussir, ils seront invincibles.

30) Quelles sont les choses qui t'ont attiré l'attention à Paris, quelques jours après y avoir déménagé ?
Tout ! C'est une ville merveilleuse. L’architecture, les gens, la culture qu'elle possède est impressionnante. C'est comme une ville magique que j'aime advantage chaque jour.

31) La ligue Française est habituée aux triomphes de Lyon et, dernièrement, de Bordeaux. Crois-tu que vous êtes assez forts pour vous battre pour les premières positions ?

Je crois que le PSG a proposé un bon projet et que notre intention est d’atteindre tous les objectifs fixés. Comme je le dis tout le temps, je veux aider mon club à monter tout en haut du podium.

32) Penses-tu être prêt physiquement pour être titulaire dans le championnat, même si c’est Kombouaré qui décidera au final?


Je m'entraîne à fond, deux fois par jour, pour être au point et pouvoir être à mon meilleur niveau le plus rapidement possible. Je veux pouvoir mériter le statut de titulaire.

33) Qui sera sur le podium de la Ligue 1 cette année?

Je ne sais pas. J'espère que le PSG pourra être sur la plus haute marche, nous travaillons dur pour y arriver. Il faudra jouer tous les matchs et c'est seulement là que nous saurons qui sera sur le podium.

viernes, 26 de agosto de 2011

Pastore répond à ses supporters - Partie I

Le joueur du PSG et de la sélection argentine répond aux questions posées par ses supporters dans le cadre du concours “Demandez à Pastore”.
 Debut lleno de sorpresas en la L1

1.      Comment te sens-tu dans cette nouvelle étape de ta vie dans une ville si magnifique?
Très bien. Je suis en plein processus d’adaptation. Cette ville est incroyable, autant pour son architecture que pour son histoire. Je crois que la vie parisienne est fascinante pour quiconque. Je suis heureux de pouvoir vivre cette nouvelle étape.
2.      Crois-tu que l’on te verra évoluer en ligue espagnole un jour?
Je ne sais pas. À ce moment de ma carrière, je ne pense qu’au PSG et à aider l’équipe à obtenir des titres. La Liga espagnole me semble une compétition formidable, mais pour l’instant, je ne me concentre que sur mon équipe et sur la Ligue 1.

3.      Comment se passe on adaptation à la France? Quelles différences observes-tu entre Paris et Palerme?
Bien, mon adaptation se passe bien. Tout est nouveau et excitant, tout me semble magnifique. Quant aux différences entre ici et Palerme, au niveau des clubs, presque tout est différent. Vu que ça fait peu de temps que je suis arrivé ici, il faut que je prenne le temps de faire connaissance avec l’équipe technique et avec mes coéquipiers. Cependant, je me sens très à l’aise, l’accueil que j’ai reçu a été spectaculaire. Je crois que le fait qu’un joueur se sente à l’aise dans le club qu’il représente est fondamental pour son rendement sur le terrain.

4.      Quels sont les objectifs pour cette saison?
Nous nous sommes fixé comme objectif de tout remporter. Personnellement, je veux contribuer tout ce que je peux et aider mon équipe à être championne de Ligue 1 et à jouer un rôle important en Europa League.

5.      Quels sont tes meilleurs souvenirs de ces six glorieux mois à Huracan en 2009 où ton équipe a été sacrée championne malgré le résultat final ?
On n’a pas remporté le championnat. On aurait bien aimé avec les efforts qu’on a fournis et les attentes qu’on a suscitées chez les gens. On a reçu beaucoup de soutien et pas seulement que de la part des supporters d’Huracan.  Les souvenirs que je conserve sont innombrables et les meilleurs sont ceux des entraînements et les moments partagés avec ce groupe génial qu’on avait formé. Je me rappellerai toujours ce championnat, ça a été un des moments les plus importants de ma vie.

6.      Est-ce que tu préfères jouer dans l’axe ou un peu plus vers l’aile ?
Je suis meneur de jeu. C’est là que je me sens le plus à l’aise et que je crois que je peux être le plus efficace. Mais comme je dis toujours, avec la sélection je joue n’importe où, même comme gardien de but.

7.      Quels changements as-tu apportés à ton jeu lorsque tu es passé de Huracan à Palerme et quels changements crois-tu devoir apporter pour t’adapter au PSG et à la Ligue 1?
À Palerme, j’ai commencé à courir un peu plus. J’ai appris et je me suis habitué à revenir en milieu de terrain après une offensive et à monter et descendre constamment. C’est quelque chose qui m’a aidé énormément à améliorer mon jeu. Quant aux changements que je dois apporter pour m’adapter au jeu du PSG, je crois que je vais m’en rendre compte au fil du temps.

8.      Crois-tu que le peu d’importance accordée à la Ligue 1 en Argentine puisse te nuire en vue d’une éventuelle convocation à ton équipe nationale ? 
Non, je ne pense pas que ça soit comme ça non plus. Beaucoup de joueurs sont convoqués à leur sélection et jouent en Ligue 1. Je vais donner le meilleur pour tout remporter avec le PSG, en pensant à mon club, mais aussi à la sélection, que j'ai toujours en tête. C'est un honneur pour moi d'être convoqué et de pouvoir porter le maillot bleu et blanc.

  1.  Penses-tu pouvoir faire du PSG un grand club européen aux côtés des autres joueurs de l'équipe ?
Je pense que nous avons une grande équipe et que nous avons très envie de gagner. Je vais faire du mieux que je peux et tout faire pour aider le PSG à gagner.

  1.  Pourquoi as-tu décidé d'aller à Paris ? Je suppose que tu avais beaucoup de propositions…
Mon agent, Marcelo, s'occupe toujours des propositions. Lorsqu'ils m'ont expliqué le projet qu'avait le PSG, cela m'a séduit immédiatement et j'ai voulu en faire partie presque automatiquement.

  1.  Que penses-tu de la bienvenue donnée au Parc des Princes ?
Ça a été très beau, très émouvant. Je ne m'attendais pas à ça. Les gens ont été très aimables avec moi. Ils m'ont fait sentir bien. Ça a été un des plus beaux moments de ma carrière. Je suis très reconnaissant envers les Parisiens.

  1.  Apprendras-tu le Français pour pouvoir communiquer avec tes compagnons ou penses-tu y arriver autrement?
C'est l'idée. Le staff technique parle français et ça serait important pour moi de bien communiquer avec eux. En Italie, j'ai appris à parler italien et je le parlais relativement bien. Le fait de vivre et de passer toute la journée avec des personnes parlant cette langue facilite l'apprentissage. Ou tu apprends ou tu ne peux pas sortir faire les courses.

  1.  Quand est-ce que nous pourrons te revoir avec Talleres?
J'aimerais pouvoir remettre le maillot de Talleres dans le futur.

  1.  Comment te sens-tu actuellement ? Tu es heureux de ce changement ?
Je me sens très bien. Je suis de plus en plus content avec chaque jour que je passe à Paris. Tout est sur la bonne voie et je suis très motivé.

  1.  Pour quel entraîneur aimerais tu jouer dans ta carrière et pourquoi?
Je crois que tous les entraîneurs sont différents, qu'ils ont tous de bonnes choses à proposer et que tous les joueurs apprennent d’eux pour améliorer leur jeu et leur attitude, autant sur le terrain qu’à l’extérieur. J'ai appris quelque chose de tous les entraîneirs que j’ai eus. Je pense donc que je ne peux pas en choisir un en aprticulier pour le futur.

lunes, 11 de julio de 2011

Batista admitió que Pastore lo hace "dudar"

El entrenador de la selección argentina aseguró que el talentoso mediocampista "le puede aportar mucho" al equipo, pese a que no lo pondrá como titular ante Costa Rica. También reconoció que "lleva tiempo" imponer su idea de juego y confirmó la formación para mañana


El entrenador de la Selección, Sergio Batista, reconoció que analizó la posibilidad de incluir como titular a Javier Pastore, uno de los jugadores más pedidos por los hinchas argentinos, aunque finalmente se decidió por realizar otras variantes de cara al choque ante Costa Rica, mañana en Córdoba.

"Javier me hace dudar, es un gran jugador; uno va buscando variantes, entra en estos esquemas. Le puede aportar mucho a la Selección", admitió "Checho" minutos después de arribar a Córdoba junto al plantel.

Consultado sobre por qué el equipo no mostraba todavía una idea clara de juego, el entrenador se defendió: "La idea nosotros la tenemos, quizá es muy difícil implementarla o que salga a la vista en pocos días. Uno trata de imponer la idea, pero lleva tiempo".

Con respecto a los cuatro cambios que implementará, argumentó: "Con este sistema estamos buscando un poquito más de profundidad, con un 9 de punta, o dos porque (además de Gonzalo Higuain) Agüero también es 9".

Así las cosas, Argentina enfrentará mañana a Costa Rica con la siguiente formación:Sergio Romero; Pablo Zabaleta, Nicolás Burdisso, Gabriel Milito, Javier Zanetti; Fernando Gago, Javier Mascherano, Ángel Di María; Lionel Messi, Sergio Agüero, Gonzalo Higuain.

En otro orden, Batista respaldó una vez más a su as de espadas, Lionel Messi, al indicar que "es el mejor jugador del mundo y hay que apoyarlo". "La idea es armar un equipo en base a Lionel, pero sin cargarlo a él", comentó a continuación.

Con el partido ante Costa Rica planteado como "una final", el técnico aseguró que "el equipo está entero" y "con muchas ganas de revertir la situación", al tiempo que admitió que "duelen mucho los insultos del público".

Fuente:playfutbol

martes, 5 de julio de 2011

Pastore: "Argentina no tiene que jugar sólo para Messi"

El jugador del Palermo señaló : "tenemos que aprovechar la velocidad y el juego de otros"

Javier Pastore mandó un mensaje claro en una entrevista concedida al diario Olé. "Argentina no puede llegar a jugar como el Barcelona".

Las palabras de unas de las figuras de Palermo se basan en las críticas a la selección albiceleste y al nivel de Messi, que no es el mismo que exhibe en el Barcelona.

"Es que no es posible llegar al juego del Barcelona. No vamos a llegar a jugar como ellos porque juegan así desde las categorías inferiores. Llegan a Primera después de mucho tiempo juntos, ya con un juego sistematizado. Argentina se está armando ahora. Además, el Barcelona tiene otra calidad de jugadores. Tenemos que tratar de imitarlos, sí, porque también tenemos jugadores de buen pie que pueden conseguirlo", expresó.

Además, señaló , que se deben aprovechar las cualidades técnicas de los demás jugadores que componen el elenco que comanda Sergio Batista.

"No creo que Argentina deba jugar para Messi. Tenemos que aprovechar la velocidad y el juego de otros. No sólo es Messi... Es un plus que tenemos, sí, porque es el mejor del mundo, pero hay que buscar un buen funcionamiento colectivo, en el que todos puedan rendir al máximo", finalizó.


Fuente: LaTercera

lunes, 6 de junio de 2011

Javier Pastore: "Queremos ganar la Copa América"

El crack del Palermo italiano nos contó que está entusiasmado, con muchas ganas de jugar la Copa América y aseguró: "Cada uno de los partidos va a ser una prueba muy difícil de superar, pero vamos a trabajar para lograrlo". Consultado sobre el presente de Huracán, sostuvo: "Me duele muchísimo... Que se quede en primera es una de las cosas que más quiero".



¿Qué balance podés hacer de tu primera mitad de año?

-A pesar de haber perdido la Copa Italia, fue un año muy bueno. Aprendí mucho y eso lo rescato como sumamente positivo.


El Palermo disputó la final de la Copa Italia frente al Inter de Milán. Fue la tercera vez que el equipo siciliano llega a esas instancias. En ninguna de las tres oportunidades pudo consagrarse campeón.


¿La derrota en la final te trajo malos recuerdos? ¿Volviste por algún momento a aquel polémico partido contra Vélez, en el que Huracán se quedó con el segundo puesto?


-Algo... Pero no lo comparé. Fueron muy diferentes. Contra Vélez, Huracán había llegado como favorito y la verdad es que no jugamos muy bien. En cambio, el Palermo no llegó como favorito pero hicimos un buen partido frente al Inter. En ambos casos la gente se portó muy bien, alentó hasta el final y aún después de haber perdido. Nos apoyaron mucho.


Dicen que la tercera es la vencida, así que la próxima final que juegues...
Esperemos que sí, y que sea la final de la Copa América, sería un sueño.


Hablando de la Copa América, ¿cómo te preparás? Esperabas la convocatoria?


Estoy muy bien, con muchas ganas y súper entusiasmado. Son hermosas éstas competiciones. La verdad es que moría de ansias por conocer la lista. La emoción que sentí al ver mi nombre, ¡Indescriptible!


En la primera ronda de la Copa América, la Selección Argentina deberá medirse con Bolivia, Colombia y Japón.


¿Estuviste viendo a los rivales de la primera ronda? ¿Qué podés decir de ellos?


-Para ser campeón, hay que ganarle a todos. Sé que es una frase hecha, pero es la pura verdad. Todos van a poner lo mejor de sí, cada equipo. Cada uno de los partidos va a ser una prueba difícil de superar, pero vamos a trabajar para lograrlo. ¡Queremos ganar la Copa!


¿Es un plus para vos que se juegue en Argentina?


-¡Claro! Vuelvo a sentir a la hinchada argentina! Me va a traer buenos recuerdos seguramente, de cuando jugaba en Huracán!


¿Extrañás esas épocas?


-¡Sí! Aunque en el Palermo estoy muy bien se extraña... Los compañeros, la gente, los rivales. ¡Todo se extraña!


Huracán, el equipo argentino en el que Pastore se consagró sub campeón y le abrió las puertas al fútbol europeo, está atravesando una gran tormenta. Se encuentra en zona de descenso directo, sólo a pasos de perder la categoría.


¿Qué podés decir sobre el presente de Huracán? ¿Te duele el mal momento que está pasando el club?
-Sí, me duele muchísimo. Es un club que me dio todo y al que le tengo un inmenso afecto, por eso me duele tanto. Quiero que se quede en primera, es una de las cosas que más quien en éste momento.


¿Y a Talleres lo seguís?
-Siempre... Tengo muchos amigos jugando ahí con quienes mantengo contacto prácticamente a diario. También están pasando por un mal momento, pero mantengo mi fe ciega en ellos y en el club en sí.


Javier Pastore es uno de los jugadores más buscados del momento. En los últimos meses se lo ha vinculado con clubes tales como el Real Madrid, Barcelona, Málaga, Manchester, Chelsea, Inter, Roma... En definitiva, está en la mira de los equipos más grandes del mundo.


Por último, se está hablando demasiado sobre tu futuro cercano... ¿Cómo y dónde te ves en tres meses?


-Espero que bien, con la Copa América en poder de Argentina y contento... Con respecto a mi futuro, por el momento permanezco en el Palermo. Es un club en donde me siento muy cómodo. Si llega una buena oferta que sea favorable tanto para mí como para el club, la evaluaremos en conjunto y en caso de que me toque partir, lo haré feliz y súper agradecido por todo lo que me dio el Palermo y su gente. Pero repito, hoy sigo siendo jugador del Palermo.

viernes, 20 de mayo de 2011

"Pastore sería más grande"

A todos se les cae la baba por el crack del Palermo. Ambrosini, capitán del último campeón italiano, no es la excepción. Tiró un centro para que los dirigentes contraten al ex Huracán. "Es uno de los pocos jugadores que puede cambiar la cara de un equipo", lo elogió.
Javier Pastore - Parma FC v US Citta di Palermo - Serie A
Parma FC v US Citta di Palermo - Serie A
(April 30, 2011 - Photo by Tullio M. Puglia/Getty Images Europe)
El nombre que está en boca de todos en Italia es el de Javier Pastore. Aquel flaquito que deslumbró en el Globo de Ángel Cappa y tuvo una muy buena temporada en el Palermo despertó la mirada de los grandes de Europa. Aunque tiene contrato con el Rosa por unos años, el mercado de pases se abre y muchos sueñan con él.

Massimo Ambrosini, a poco de firmar la renovación de su contrato, dio un guiño al talentoso mediocampista argentino del Palermo. Lo quieren desde Barcelona y desde Madrid, pero el italiano asegura que le sería más fácil jugar en el Milan porque "es alguien que ya conoce la Liga italiana".

"Es un jugador que sería más grande en un club como elnuestro. Es uno de los pocos jugadores que puede cambiar la cara de un equipo", explica su pensamiento. Con la baja de un referente del plantel como Pirlo, ya que no renovó contrato, sería una buena alternativa para su reemplazo. "Sería menos difícil para él adaptarse que para cualquier otro jugador, que venga de otra liga", finalizó. ¿Pastore se mudará a Milan?

Fuente: ole

domingo, 17 de octubre de 2010

El gol de Pastore elegido el mejor gol de la fecha (7800 votos)

Secondo i lettori di sportitalia.com è del femomeno argentino del Palermo Javier Pastore il gol più bello della 7a giornata di serie A. 7800 circa i voti espressi al nostro sondaggio che è stato online durante la puntata di "Che DomenicA". Ecco ilrisultato del sondaggio coi votin percentuale:

  1. 38,6% dei voti Pastore (1-0) in Palermo-Bologna 4-1
  2. 31,2% dei voti Cassano in Sampdoria-Fiorentina 2-1
  3. 15,4% dei voti Gomez in Catania-Napoli 1-1
  4. 9,9% dei voti Pato (1-0) in Milan-Chievo 3-1
  5. 4,8% dei voti Eto'o in Cagliari-Inter 0-1
Fuente: www.sportitalia.com

E' di Pastore il gol più bello


Feliz día Madres

Palermo 4 - Bologna 1 (Gol de Pastore)

El volante cordobés, figura del Palermo, marcó el primer gol de su equipo en la victoria por 4-1 sobre Bologna. En su festejo se acordó del Día de la Madre




Se cansó de homenajearla con la pelota en los pies. Patricia ya se merecía algo más que el resto. Al menos, en su día. Entonces, Javier no lo dudó y, más allá de lo trillado del recurso, después de romperle la red al pobre Viviano, arquero del Bologna, a ella le rompió el corazón con su camiseta interior escrita a mano. “Feliz día, madres”, se dejó ver una vez que abrió la goleada del Palermo con un golazo desde afuera del área que piropeó al ángulo. Lo de Pastore ya no es la historieta del joven cordobesito que está aprovechando sus 15 minutos de fama en Europa. Lo de Pastore es pura realidad. ¡Mamma mía! ¡Qué jugador!

A los 17 minutos, antes de levantarse la pilcha rosa a la altura del pecho, levantó la cabeza y la puso arriba, en un rincón. Golazo para abrir un juego que pintaba duro frente a los bologneses en el Sur. Lo de Javier ya no era cuestión de mero tiqui tiqui. No hay medio italiano, no hay oponente, que no juegue con él a las comparaciones. La última, la mejorcita, no habla de Maradona (quien lo calificó como un “maleducado del fútbol”) sino que lo pone a la par de un tal Zinedine Zidane. El tema es que además de su poderosa gambeta hacia delante, el cordobés de San Roque (Córdoba, algo más de 1.000 habitantes), encontró el gol…

Los números juegan a favor del ex Talleres y lanzado a la fama por Angel Cappa. En la primera temporada en el Palermo, la 2009/10 (firmó por diez millones de euros hasta el 2014), el pelilargo le convirtió al Bari, al Genoa y al Chievo. Es decir, tres goles. En lo que va de la 10/11, ya lleva cuatro por el Calcio (Brescia, Juventus, Fiorentina y, hoy, Bologna) en siete partidos, y un quinto ante el Maribor por la Europe League.

Con un Mundial en el hombro (sumó 42 minutos entre Grecia, México y Alemania en Sudáfrica), con un gol a Cataluña con la Celeste y Blanca en el Nou Camp, Javier abrió la cuenta y le dio pista a sus compañeros (como el ex Boca, Ezequiel Muñoz, quien jugó todo el partido), quienes colaboraron para el 4-1 final: Ilicic, el chileno Pinilla y Bacinovic (descontó Di Vaio). A los 40’ST, Pastore salió por Matía Kasani para el aplauso de todo el estadio Renzo Barbera.
Fuente:Ole

lunes, 11 de octubre de 2010

Pastore no se quiere ir

A pesar de todas las ofertas que han llegado, según afirma su agente, Pastore tiene ganas de quedarse en el club Siciliano.

"Quiero aclarar la situación : Pastore esta muy tranquilo y contento en el Palermo ," dijo su Representante a Tuttomercatoweb.

"Javier se quiere quedar en el Palermo. Yo no hable con ningún otro equipo , ni tampoco lo he ofrecido"

"Se esta hablando de esto por lo menos cinco veces al día, pero yo se que el se quiere quedar "

" Maurizio Zamparini (Presidente del club) realmente quiere quedárselo y estamos todos orgullosos con el trabajo que esta haciendo en el club," concluyo Simonian .



sábado, 9 de octubre de 2010

Asi juega Pastore

Vertical, movedizo, dinámico, elegante y letal, así juega el Flaco Javier Pastore. Que desde que pisó Europa ha encandilado a todos, siendo uno de los jugadores más determinantes del Palermo. El argentino lleva en sus pies una pluma increíble, con la cual escribe un presente fantástico y aventura un futuro aún mejor.


Javier Pastore de 21 años, está siendo verdaderamente determinante en el Palermo de Italia, en donde no tiene problemas de ponerse el equipo al hombro y luchar por sus objetivos. Pero claro, el argentino no traduce la palabra lucha con patadas ni dientes apretados a la hora de jugar, sino que lo hace con clase, majestuosidad, nunca olvidando de dar espectáculo y dejando a la afición satisfecha de buen fútbol.


Al ver sus jugadas sin dudas que es difícil no pensar en la cantidad de futbolistas que año a año lanza Argentina al mundo. Este país es la cantera de muchos habilidosos jugadores que seguramente continuarán naciendo. Abanderados de un estilo futbolístico único, de jugar con el esférico pegado al pie y de soltarlo rápidamente cuando sea necesario; Hombres como Messi, Di María, Kun Agüero, Dátolo, José Sosa, Javier Pastore, entre otros, dan muestras claras de como dejar a un espectador satisfecho cada vez que sale de un estadio de fútbol.


El centrocampista argentino del Palermo tiene mucho de ese talento sudamericano basado en libros maradoneanos que no muchos jugadores lo tienen. Pastore, pese a su juventud, entiende perfectamente lo que un entrenador quiere de él, en cuanto a donde moverse y que hacer dentro del campo de juego, pero a eso le agrega gambetas, fintas, pisadas, túneles y alegría. Al igual que Ronaldinho y tantos otros habilidosos que andan por Europa, este jugador sabe como divertirse con el balón y a su vez divertir a los demás.


Aparte de la elegancia a la hora de jugar y de tirar túneles, Pastore en varias ocasiones llega a convertir. Cuando pisa el área rival también es muy peligroso, ya que prueba con tiros lejanos y además se mueve muy velozmente en dicho rectángulo. En el centro del campo en cambio,Pastore tiene una característica que es clave: su verticalidad. El argentino siempre tiene la frente en alto y apuntando hacia la portería rival, difícilmente se de vuelta y retroceda hacia atrás. Con el balón pegadito al pie va hacia adelante, recurriendo a la magia cuando sea necesario, lanzando desde lejos en el momento oportuno o descargando pases ligeros cuando la situación lo amerite.


En cuanto a su colocación y al puesto que ocupa, se puede decir que Pastore se siente cómodo moviéndose del centro del campo hacia adelante. Obviamente que se ve más beneficiado cuando tiene espacio para correr y trasladar velozmente el esférico por las bandas. Aunque cerca del círculo central y marcado por varios es donde su magia más se pronuncia.


Cuando hizo sus maletas y dejó atrás el Huracán de Ángel Cappa, sabía que nada iba a ser igual. Pues el fútbol italiano es muy difícil de jugar, más aún para un futbolista de las cualidades de Pastore. Y así fue, le costó bastante adaptarse, no fue titular indiscutido apenas llegó y a la hora de ingresar a veces lo invadía ese nerviosismo lógico de un jugador que cae en Europa proveniente de otro lugar. Pero poco a poco se fue soltando, despreocupándose por agradar a todos y concentrado en lo que sabe hacer, que es jugar elegantemente al fútbol y divertirse por sobre todas las cosas.


Así juega Pastore, elegante y dinámico, con el balón pegado en sus pies y siempre con la frente en alto. Jugando así su futuro seguramente lo aleje dentro de muy poco del Palermo. Claro que aún para llegar lejos debe mejorar sus atributos y trabajar sus debilidades, pero por ahora solo hay que darle las gracias y aplaudir de pie a este chaval que nos deleita cada vez que puede.





Fuente : http://www.futbolprimera.es

domingo, 3 de octubre de 2010

Pastore sigue encendido

El Palermo le gano 2 a 1 a la Fiorentina con una gran actuación de Javier Pastore .


Gol de Pastore


Con este , lleva tres goles en lo que va del torneo y es junto a Ilicic ,  uno de los goleadores del Palermo,.

jueves, 30 de septiembre de 2010

"Pastore, de El Flaco a Il Fantasista"




Bien es verdad que Maradona aportó poco a la selección Argentina en el pasado Mundial, pero si hay algo que agradecer al “técnico” albiceleste es que diera a conocer a todo el mundo a Javier Pastore.

La realidad es que Pastore no ha sido un descubrimiento “del Diego” sino que se ganó a pulso el estar entre los convocados de una selección que brillaba por la ausencia de grandes jugadores en la media punta, posición que ocupa Javier. Nacido en Córdoba (Argentina), el Flaco, como se le conoce en su país, con tan solo 21 años es una de las piezas claves del Palermo, un equipo que la temporada pasada, gracias en gran parte a Pastore, consiguió clasificarse para la UEFA Europa League.

Rápido salto a Europa

Pero la historia de Pastore comienza en su país natal. Comenzó su carrera en las categorías inferiores de Talleres de Córdoba, equipo que le dio la posibilidad de debutar en el campeonato argentino. Fue entonces cuando Ángel Cappa vio en él un gran jugador y decidió contratarlo para su equipo, que por aquel entonces era Huracán. Allí se consolidó como titular, consiguiendo en 30 partidos 8 goles, pero destacando, sobre todo, por su gran dirección de juego y su gran elegancia a la hora de llevar el balón en los pies.

Sólo hizo falta una temporada para que el viejo continente se diera cuenta que en Pastore había mucho futuro, y fue el Palermo, que por aquel entonces comenzaba a intentar buscar un hueco entre los grandes de Italia, el que se hizo con sus servicios, pagando alrededor de 6 millones de euros. Aquí es donde El Flaco se empezó a convertir en Il Fantasista como se le conoce en el Calcio. En su primera temporada en Palermo disputó 34 partidos de liga, consiguiendo ser uno de los artífices de la clasificación para Europa junto con el goleador Edison Cavani. Esta temporada pese a que el equipo no ha comenzado la temporada de la mejor manera posible, Javier Pastore ya está dejando detalles de la calidad que atesora.

Buen presente y mejor futuro 

Sin duda Javier Pastore es una de esas perlas que hoy en día hay en el fútbol mundial. En un deporte en el que cada vez los jugadores despuntan más jóvenes, Pastore no está perdiendo la oportunidad de enseñar al mundo su calidad. Un jugador que se desenvuelve en los tres cuartos de campo, en la media punta, recordando por posición a su compatriota Riquelme o a los primeros años de la Brujita. Pero si hay a un jugador que puede recordar Pastore es a Juan Carlos Valerón en sus años grandes, la elegancia con el valor en los pies, el uso del exterior a la hora de controlar y conducir, detalles de gran mediapunta.

Un jugador que destaca por su elegancia, por su visión de juego, por su gran dirección y que como buen argentino hace uso del caño en cualquier momento, un regate que además de ser eficaz, desquicia al que lo recibe. No cabe duda que si Pastore hubiera sido pieza clave de Argentina en el Mundial, hubiera sido difícil que el Palermo lo hubiera retenido en sus filas, pero para esto queda poco, porque en muy pocas temporadas, sin ninguna duda, Pastore formará parte de alguno de los mejores equipos del mundo.


Fuente:http://www.fifa-champions.com

lunes, 27 de septiembre de 2010

Lo quieren "TODOS"

Con dos goles en cinco fechas y con un despliegue que demuestra que cada vez se siente más cómodo sobre el campo de juego, Javier Pastore se convirtió en uno de los nombres propios del mes de septiembre en lo que a rumores se refiere. 


Se lo ha vinculado ya con el Barcelona, el Manchester City, el Chelsea, el Real Madrid y el Inter de Milán.
Pero todavía hay más... Según varias fuentes, Pastore ha ingresado también en la agenda de otro de los equipos más poderosos del viejo continente, el Bayern Múnich, que acaba de renovar a Louis Van Gaal y podría acompañar esa prolongación de contrato con un "regalito' navideño".


Y es que los bávaros estarían pensando en ir con todo a por Pastore y contradecir a Maurizio Zamparini, presidente del Palermo, quien ha dicho que no piensa vender al atacante a mitad de temporada. Porque si es cierto que el Bayern va a ofrecer 30 millones de euros, puede que Zamparini no lo venda en el mes de enero... sino mañana mismo.

Javier Pastore: Palermo Vs Lecce 2-2

sábado, 25 de septiembre de 2010

Javier Pastore "el nuevo Zidane"

El mediocampista, figura en el triunfo de ayer del modesto Palermo ante la Juventus, se ganó la tapa de todos los diarios italianos. El presidente de su equipo, Mauricio Zamparini, lo calificó como "el nuevo Zidane", confesó que el Real Madrid ya preguntó por él y hasta se animó a pronosticar que "en dos años valdrá como Messi".

Javi festejando 

Maurizio Zamparini, presidente del Palermo, está encantado con Javier Pastore. El talentoso mediapunta argentino, quien llegó a Italia en 2009, es considerado por el dirigiente como "el nuevo Zidane". E incluso vaticinó: "Dentro de dos años valdrá tanto como Messi", consignó el diario deportivo ‘Marca’.

Zamparini, quien ya tasó a Pastore en 50 millones de euros, reconoció hoy que el Real Madrid “ya ha preguntado por el jugador", pero aclaró que rechazó la propuesta. “Para nosotros es intransferible", sentenció.

"Tiene mucho talento y es muy completo. No se irá del Palermo ni en el mercado de invierno ni en el próximo mes de junio", avisó el titular del Palermo.

Pastore, quien debutó en el seleccionado argentino de la mano de Diego Maradona e integró el plantel que participó del pasado Mundial de Sudáfrica, fue la gran figura en el encuentro de ayer ante la Juventus y convirtió el primer gol en el triunfo como visitante por 3-1, en el Stadio Olímpico de Turín.